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Les différences entre VTC et TAXI

Le sigle VTC fait référence aux voitures de transport avec chauffeurs ou aux voitures de tourisme avec chauffeur. Cette activité a été encore connue sous le nom de voiture de grande de remise en 2010, mais c’est avec son transfert du ministère de l’Intérieur vers le ministère du Tourisme qui fait changer son nom. Cette transmission est dans le but de séparer la gestion avec les taxis, mais également pour réduire son nombre grâce aux critères imposés. En 2014, la gestion de l’activité est sous la tutelle du ministère des Transports en 2014. Ce domaine est très florissant en France : d’après les statistiques, les VTC sont passés de 7 000 en février 2014 à 14 000 en septembre 2015. On ressent surtout cette augmentation de VTC sur Lyon et Paris !

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Lire également : Prendre un taxi dans une ville que l’on ne connaît pas en France : comment éviter les arnaques ?

Le taxi et la VTC

Il existe une grande concurrence entre ces deux entités qui proposent à ses clients le transport. Leurs activités sont presque similaires : le taxi, comme la VTC, est accompagné d’un conducteur. Pour facturer sa clientèle, une VTC peut opter pour la tarification forfaitaire ou la tarification de kilomètre-heure : un autre point en commun qu’elle a avec le taxi. Toutefois, certains points font la différence entre la VTC et le taxi, ne serait-ce que les droits et les réglementations.

Les prix

Les taxis ont un tarif déjà fixé par la réglementation, ils n’ont pas droit de faire baisser ou d’augmenter leur tarif. De l’autre côté, les VTC sont libres de fixer leur tarif. Les VTC travaillent dans le cadre du « luxe » : les conducteurs sont vêtus de costumes, une boisson de rafraîchissement est offerte aux clients … Ces atouts font des tarifs du VTC plus cher que celui d’un taxi. Toutefois, les prix restent compétitifs.

Lire également : Les plus grands réseaux de stations service en France

La particularité de la VTC

Si vous pouvez arrêter un taxi n’importe où et quand vous voulez, la VTC ne fonctionne pas ainsi. Pour bénéficier de ses services, il faut une réservation à l’avance. Un ticket de réservation est alors octroyé au client et en cas de contrôle il se doit de le présenter. Beaucoup se demandent sur le délai entre la réservation et la prise en charge du client. En effet, il y a quelques mois encore ce délai était fixé à 15 minutes au minimum, mais cette réglementation a été levée.

Le droit d’exercice pour une VTC

Pour pouvoir travailler dans ce domaine, un exploitant doit faire la demande d’une immatriculation qu’il pourra ensuite renouveler tous les trois ans. Il doit faire la demande auprès du ministère des Transports. Si la licence pour les taxis est théoriquement gratuite, le droit d’exercice pour une VTC est estimé aux environs de 150 €. Il ne faut pas aussi négliger que les nouveaux taxis doivent actuellement se procurer des licences auprès des retraités qui les revendent à 200 000 €. Le sigle VTC fait référence aux voitures de transport avec chauffeurs ou aux voitures de tourisme avec chauffeur. Cette activité a été encore connue sous le nom de voiture de grande de remise en 2010, mais c’est avec son transfert du ministère de l’Intérieur vers le ministère du Tourisme qui fait changer son nom. Cette transmission est dans le but de séparer la gestion avec les taxis, mais également pour réduire son nombre grâce aux critères imposés. En 2014, la gestion de l’activité est sous la tutelle du ministère des Transports en 2014. Ce domaine est très florissant en France : d’après les statistiques, les VTC sont passés de 7 000 en février 2014 à 14 000 en septembre 2015.

Le taxi et la VTC

Il existe une grande concurrence entre ces deux entités qui proposent à ses clients le transport. Leurs activités sont presque similaires : le taxi, comme la VTC, est accompagné d’un conducteur. Pour facturer sa clientèle, une VTC peut opter pour la tarification forfaitaire ou la tarification de kilomètre-heure : un autre point en commun qu’elle a avec le taxi. Toutefois, certains points font la différence entre la VTC et le taxi, ne serait-ce que les droits et les réglementations.

Les prix

Les taxis ont un tarif déjà fixé par la réglementation, ils n’ont pas droit de faire baisser ou d’augmenter leur tarif. De l’autre côté, les VTC sont libres de fixer leur tarif. Les VTC travaillent dans le cadre du « luxe » : les conducteurs sont vêtus de costumes, une boisson de rafraîchissement est offerte aux clients … Ces atouts font des tarifs du VTC plus cher que celui d’un taxi. Toutefois, les prix restent compétitifs.

La particularité de la VTC

Si vous pouvez arrêter un taxi n’importe où et quand vous voulez, la VTC ne fonctionne pas ainsi. Pour bénéficier de ses services, il faut une réservation à l’avance. Un ticket de réservation est alors octroyé au client et en cas de contrôle il se doit de le présenter. Beaucoup se demandent sur le délai entre la réservation et la prise en charge du client. En effet, il y a quelques mois encore ce délai était fixé à 15 minutes au minimum, mais cette réglementation a été levée.

Le droit d’exercice pour une VTC

Pour pouvoir travailler dans ce domaine, un exploitant doit faire la demande d’une immatriculation qu’il pourra ensuite renouveler tous les trois ans. Il doit faire la demande auprès du ministère des Transports. Si la licence pour les taxis est théoriquement gratuite, le droit d’exercice pour une VTC est estimé aux environs de 150 €. Il ne faut pas aussi négliger que les nouveaux taxis doivent actuellement se procurer des licences auprès des retraités qui les revendent à 200 000 €.

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